jeudi 11 juin 2020

Gaël Rouilhac sort un album tout en finesse jazz Waterworks

Gaël Rouilhac livre l'album Waterworks qui laisse entrevoir un talent de guitariste et de compositeurs faramineux.

Le guitariste s'inspire du thème de l'eau, métaphore à son jeu de guitare d'une fluidité extraordinaire. Voilà un trio acoustique explosif, détonnant d’une fraîcheur inédite, où la connivence, la chaleur humaine dans les échanges musicaux et la spontanéité traduisent une véritable osmose.

Gaël Rouilhac fait très fort avec cet album Waterworks. A 37 ans, Gaël Rouilhac signe enfin son 1er album. Des débuts à la guitare à l’âge de 11 ans, il entre dans une école de jazz dès ses 17 ans et découvre de nombreux univers musicaux, Wes Montgomery, Django Reinhardt, le rock des années 90 notamment, mais aussi de nombreuses musiques traditionnelles ou expérimentales resteront des influences majeures. Il débute sa carrière professionnelle en 2001 accompagné de sa guitare de type Selmer Maccaferri. Le jazz manouche bien sûr, où il excelle, mais aussi une véritable expérience de vie et de musique lorsqu’il intègre en 2008 la Compagnie « Les Deschiens » de Jérôme Deschamps, trois années en tant que musicien comédien à se construire différemment... Puis aujourd'hui, il prend son envol avec beaucoup de maturité.

Voici une vidéo EPK pour découvrir les coulisses de l'enregistrement de l'album Waterworks :

Gaël Rouilhac s'inspire du thème de l'eau avec ce premier album. Voici le texte très poétique qu'il a choisi de mettre en exergue. "Les battements du coeur comme les fluctuations de l’eau, autant de chemins parallèles qui s’entremêlent pourtant. Dépasser ces anomalies géométriques à travers une humanité entière et entièrement partagée, à travers des esprits confondus, accepter les différentes sources et les unir pour progresser ensemble. Accélérer. Dévaler ces pentes abruptes sans s’interroger, accélérer encore sans même y penser. Ralentir. Prendre le temps. S’arrêter. Reculer. Revenir. Repartir. Ne jamais imposer le rythme pour le laisser exister, pour le laisser choisir la cadence. La rivière coule, accélère, plonge, ralentit, tarit, renaît, et coule à nouveau. La musique aussi. Pourquoi pas nous ?" Alexandre Fournet, journaliste

Gaël Rouilhac - Nouvel album Waterworks

Sortie le 25/09/2020 chez Laborie Jazz

le site de Gaël

mercredi 3 juin 2020

Apple Jelly ne lâche rien avec Die, Motherfucker, die !!!

Apple Jelly, le groupe lyonnais, revient avec un nouvel album Die Motherfucker, Die !!! tentant la fusion entre le rock (LCD Soundsystem) et l'électro (Kraftwerk). On les suit avec ce clip sélectionné au Festival Berlin Music Video Awards 2020.

Apple Jelly est de retour, qu'on se le dise ! Le groupe de rock lyonnais renait de ses cendres et revient avec un album, Die, Motherfucker, die !!! enregistré en 2013, et repris en 2020 pour le grand bonheur de nos oreilles.

Après 3 ans de silence, et sept ans d’attente, le nouvel album du groupe indie pop lyonnais Apple Jelly est attendu pour le mois se septembre, et l'on peut découvrir en premier single et en vidéo l'incroyable Die, Motherfucker ! Die !!!. Sélectionné au mois de mars 2020 au Festival Music Video Awards de Berlin, le clip de « Die, Motherfucker ! Die !!! », premier single de l’album éponyme, dont le titre claque comme un film de Russ Meyer, devrait assurément vous accrocher durablement l’œil et l’oreille.

Voici le clip de Die, Motherfucker ! Die !!!

Combo de 10 morceaux nés de la crise, le cinglant premier titre éponyme ouvre les portes d’un recueil incisif et acerbe pour s’achever sur “The end of our age” irrévérence à une société en déclin. Après deux albums remarqués et composés en binôme, BEnn., tête chercheuse du groupe depuis 2003, bien connu pour ses interprétations scéniques vives et habitées, écrit et réalise avec “Die, Motherfucker ! Die !!!”, le disque le plus affirmé du groupe. Étonnant et entraînant, voilà l’effet provoqué par Apple Jelly ! Une énergie palpable qui fait l’effet d’une bombe, emmenant le public dans un univers frais et dansant… un véritable phénomène de scène !

Le groupe est sur Facebook

mardi 2 juin 2020

Agoria revient avec un superbe clip 3 Letters feat Blasé

Agoria, le prolifique compositeur, Dj et producteur français dévoile un nouveau clip, 3 Letters, sur lequel il a invité le chanteur Blasé, avec qui il avait déjà sorti son tube le plus connu You're not alone. Une douceur électro pop servie par un clip original avec une étonnante chorégraphie. 

 

Agoria livre un vrai tube estival, 3 Letters, accompagné de deux remixs. A voir sur Top du mois. 

 

On le savait déjà, Sébastien Devaud a.k.a. Agoria est un grand fan de cinéma. Et il a bien l’intention de nous le prouver, single après single, à l’occasion de la sortie de son nouvel EP Three Letters.

Signé par le réalisateur argentin multi-primé Hernan Corera (Latin Grammy Award du meilleur clip pour Gallo Negro de Kurayaki & The Valderramas), le film nous emmène dans un espace confiné mais néanmoins ouvert sur un ailleurs ensoleillé. En quelques années, pourtant, Sébastien Devaud, alias Agoria, s'est imposé comme le prétendant le plus crédible au trône de Laurent Garnier : celui de DJ le plus populaire de la techno française. Il a été élu meilleur du genre en 2005 (ex aequo avec Garnier), par les lecteurs du magazine Trax,mensuel spécialisé dans les musiques électroniques.

En découverte, le clip de Three Letters :


« Avant, ma musique était souvent sombre et peut-être un peu forcée. Cette fois, j’ai juste laissé les choses venir à moi spontanément, et tout semble s’être harmonisé comme je le souhaitais. »

 Agoria Contrairement à la première génération de producteurs de Techno, Sébastien Devaud aka Agoria est trop jeune pour avoir grandi avec les groupes de pop électronique comme Depeche Mode ou New Order. Son adolescence est plutôt marquée par l’explosion de la scène de Detroit et les grandes heures de la House américaine. Porté par une vidéo originale, le titre sera assorti de deux remixes du duo allemand andhim, avant la révélation, le 12 juin, d’un remix signé par Stereocalypse.

Le DJ connu pour sa capacité à fédérer puise une fois encore dans les recoins de sa vaste culture musicale électronique.

Le producteur est sur Instagram