Franck Marchal, magicien des synthés à découvrir avec le EP Maeström Metronomy

Franck Marchal revient le 24 juin avec un EP Maeström Metronomy qui laisse la part belle aux synthés vintage et aux boites à rythmes.

Franck Marchal a dévoilé Bot Sadness en clip session, premier extrait de son EP Maelström Metronomy.

Franck Marchal revendique des influences à chercher du côté de John Carpenter, Depeche Mode, Vangelis ou Giorgio Moroder. Il nous captive tout au long de l’album Maeltrom Metronomy avec ses boites à rythmes vintage et ses synthés analogiques. Franck Marchal ressort ses synthés vintage pour le EP Maelström Metronomy, odyssée technophile dans le futur inspirée par l'IA, les mondes digitaux. L’EP « Maelstrom Metronomy » est une plongée musicale organique et électronique aux climats cinématographiques. Le projet contient six compositions qui mettent à l’honneur les synthétiseurs analogiques, le piano et les sons qui nous entourent…

Regardez le clip de Bot Sadness et vibrez :

 

Bot Sadness évoque la technologie et en particulier l'intelligence artificielle : à l’heure où l’IA s’invite dans nos vies, dans toutes les discussions, tous les espoirs, toutes les craintes, tous les fantasmes ; que pourrait-être la « petite musique » intérieure d’un bot informatique qui ressentirait de la tristesse ? Un jour peut-être, une mutation qui n'est plus à exclure si l'on en croit les films de science fiction. 

 

Franck Marchal a notamment composé l’Hymne du Top 14 et de nombreuses bandes son pour des évènements mondiaux comme l’Exposition Universelle de Shangaï. Il a travaillé avec de prestigieux orchestres, dont l’Orchestre Philarmonique de Monaco ou encore le London Symphony Orchestra. 

 Avec des trouvailles synthétiques aux allures cinématographiques à l’image de « Ink» et de « Bot Sadness », Franck Marchal impose son univers hors du commun qui porte haut la musique synthétique expérimentale.  

Tracklisting du EP :  

Bot Sadness (single) 

Something from Childhood 

Ink 

Maelström Metronomy 

Toutes s’en vont 

Amniotic Ecstasy

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Louis Durdek surprend par sa douceur folk avec l'album Unnamed Road

Louis Durdek est un artiste français de folk. Après avoir créé le groupe The Traveling Lights, dont l'EP There Is A Place est sorti en mars 2020, il se lance en solo avec sa folk solaire et envoûtante. Un disque miraculeux d'une maturité totale que l'on découvre avec l'extrait Unnamed Road 

 

Entre folk et indie anglo-saxonne, Louis Durdek s'affranchit de ses maitres comme Leonard Cohen, Nick Cave ou encore Mark Lanegan pour composer des titres nourris de ses voyages. 

 

Louis Durdek nous capte dès les premiers arpèges de la chanson Unnamed Road pour ne plus nous lâcher. Sa voix, sidérante, ondule avec grâce. Et les huit titres de l'album sont assez variés pour que jamais l'attention ne retombe. Voilà de la musique pour les grands espaces, une bouffée d'oxygène et un sentiment de liberté ! Entre compositions feutrées et hommage aux aventuriers de la folk rencontrés en chemin, le songwriter Louis Durdek entrelace mots et mélodies en un alliage subtil de genres et d’influences. On vous conseille en priorité les titres Holy Waters et Road of Sorrow en fin d'album, pour décoller vers un ailleurs plein d'étoiles.

Voici le clip officiel réalisé par Cléo Rénard dans les Pyrénées pour Unnamed Road :

 

Quand on l’interroge sur ses influences, il cite John Martyn, Leonard Cohen, Mark Lanegan, Ben Howard, John Butler, Ray Lamontagne, Nick Cave, Jose Gonzalez… soit la fine fleur des songwriters anglo-saxons. 

Parolier passionné, Louis Durdek tire de ses voyages réels ou symboliques la quintessence d’une poésie nomade qui n’est pas sans rappeler les bourlingueurs du genre tels Jack Kerouac et Neal Cassady. Au fil du temps, il développe un style personnel qui se veut sensible et introspectif, revenant souvent à ses thèmes de prédilection : le rapport à l’Autre, la nostalgie du temps qui passe ou le besoin d’évasion.

Les dates de la tournée :

– 23 juin 2024 – 20h Concert de release de l’album Unnamed Road au Manoir de Procé – Nantes

 – Dimanche 28 juillet 2024 – 12h30 Festival du Moulin de l’Épinay Chapelle St Florent 

 – Vendredi 18 octobre 2024 En concert au T.N.T – Nantes

Lien digital officiel avec toutes les infos pour ne rien rater de la sortie de l'album

Annika and The Forest célèbre le New York rock et légendaire en musique

Annika and The Forest est de retour avec le maxi quatre titres A Queen In New York, pour mettre en musique le roman policier très noir de Marine Béliard qui sort le 15 mai chez Rivages. En Livre et en musique, on plonge dans le New York des années 80 à la poursuite d'une chanteuse de rock décédée.

Deux ans après l'album Même La Nuit, Annika & The Forest plonge dans le New-York rock des années 70 et 80 avec un EP qui nous évoque Lou Reed, La Factory, Talking Heads, Television et Patti Smith.

Annika & The Forest a visiblement été très inspirée par le roman policier de Marine Béliard qui s'appelle A Queen In New York et suit l'enquête d'une star de rock décédée par overdose. Est-ce vraiment une overdose, d'ailleurs ? Lisez ce roman policier digne des meilleurs livres de suspense. Et ecoutez le EP qui nous emmène au CBGB et à Greenwich Village.

L'histoire d'A Queen In New York commence ainsi : La chanteuse mythique du groupe A Queen in New York, Elva, est retrouvé morte d'une overdose dans son appartement. Joaquin, son ami proche et ancien détective du NYPD, refuse d'accepter la thèse du suicide. Dix ans plus tôt, Elva et son groupe avaient captivé New York, attirant des foules dans les clubs grâce à son charisme exceptionnel. À cette époque, l'héroïne faisait des ravages dans le milieu musical, et bien qu'Elva ait réussi à s'en éloigner, sa mort soudaine plonge Joaquin dans une enquête personnelle pour découvrir la vérité derrière sa tragédie.

Annika and The Forest nous dévoilent quatre titres disponibles en digital dont Oblivious et A Queen In New York qui sont à découvrir avec leurs Lyrics Vidéo.

Regardez la vidéo d'Oblivious :

Découvrez le titre A Queen In New York

Découvrez la musique d’Annika and The Forest ici et le livre de Marine Béliard là