Child of Ayin nous emmêne dans son trip musical et surnaturel : une aventure cosmique qui témoigne du talent du songwriter.
Qui est Child of Ayin ?
Artiste mystique et voyageur sonore, il est le pont vivant entre l’Ancien et le Nouveau, entre le visible et l’invisible. A découvrir avec l'album Top of the Sinaï.
L'album "Top Of The Sinaï" de Child of Ayin nous plonge dans l'univers d'un cowboy mystique, narrant les défis de notre époque et l'avènement d'un monde nouveau. Chaque morceau de cet album, inspiré par la médiumnité et la numérologie, est associé à un chiffre de 1 à 12, reflétant une énergie et une méditation spécifiques.
Enregistré au Blackbird Studio (Nashville) et au Kerwax Vintage Studio (Bretagne), cet album à la production soignée traduit l’ascension d’un personnage double : le cow-boy conquérant qui cède la place au chaman introspectif, pour une expérience mystique où la mélodie se mêle à la pensée profonde.
À cette sortie s’ajoute un mini-documentaire exclusif « Entre les mondes », qui plonge dans l’univers singulier de l’artiste et révèle les coulisses de cette création.
Découvrez Entre les mondes, un documentaire qui présente l'artiste Child of Ayin :
L'album est divisé en deux parties : la première, intitulée "Top of the Sinaï – Part 1" et sortie le mois dernier, illustre la conquête du monde extérieur à travers l'image du cowboy. La seconde partie, prévue pour septembre, mettra en avant la figure de l'indien/chamane, symbolisant la quête de la conquête intérieure.
Bonus : découvrez le clip de Hell is where the angels grow :
Child of Ayin, artiste aux racines franco-américaines, s'impose en tant qu'entité énigmatique dans le vaste univers musical. Son nom, inspiré par la seizième lettre de l'alphabet hébreu, « Ayin », évoque des significations profondes, liées à la voyance et aux mystères que nous explorerons peut-être trop tard...
Il pourrait être décrit comme un cow-boy cosmique, chantant les résonances des dimensions invisibles qui tissent le tissu de l'univers à venir. Il ne se veut ni prophète ni philosophe ; il ressemble plutôt à ce voisin singulier dont le regard peut sembler troublant, mais dont la voix, d’un étonnant réconfort, nous met en garde.
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